Baromètre 2021 de la mobilité active : on vous dit tout

Créé en 2018, Zenride a lancé le concept de vélo de fonction avec son service intégré et entièrement digitalisé permettant aux salariés d’opter pour un vélo dont le coût est pris en charge à hauteur de 70 % par l’employeur. Cette offre a d’ores et déjà été adoptée par 150 entreprises, dont des géants tels que Veolia, Saint-Gobain ou Microsoft France.

Pour la seconde année consécutive, Zenride a confié à Diffusis France la réalisation d’un sondage autour de la mobilité active. Celui-ci a été réalisé en ligne entre le 27 novembre et le 1er décembre 2021 auprès de 1258 personnes constituant un panel représentatif de la population française.

Le baromètre est riche d’informations et nous avons choisi de dégager pour vous quelques tendances. Premièrement, les trajets domicile-travail sont considérés comme une source de stress par 49 % des personnes interrogées. Au niveau national, la voiture est encore le moyen de transport le plus utilisé pour ce genre de trajet avec 32 %. Viennent après les transports en commun (24 %), la marche (11 %), les deux-roues motorisés (10 %) et le covoiturage (7 %). Les vélos à assistance électriques obtiennent 6 % tout comme les vélos classiques. On peut donc dire que les vélos totalisent 12 % : ils se placeraient ainsi en troisième position. Pour rappel, le baromètre 2020 donnait 6 % seulement. On peut donc dire que les Français utilisent deux fois plus leur vélo pour se rendre au travail, une progression impressionnante en seulement une année.

Concernant les trajets proprement dits, 9 % des personnes interrogées mettent plus d’une heure pour se rendre sur leur lieu de travail. 50 % demeurent à moins de 30 minutes de leur travail et même 21 % à moins de 15 minutes. En termes de distance, 49 % des Français habitent à moins de 10 km de leur lieu de travail. Ils sont autant à trouver leur parcours fatigant et stressant.

85 % des personnes soumis au questionnaire déclarent posséder un ou plusieurs vélos. 56 % n’ont pas dépensé plus de 1000 € pour leur acquisition (33 % entre 500 et 1000 €). Les vélos plus onéreux sont considérés comme adaptés à une utilisation véritablement intensive. 14 % ont dépensé entre 2000 et 3000 € et même 5 % plus de 3000 €. 19 % des personnes interrogées ont un vélo à assistance électrique.

Pour 19 % des sondés, leur vélo est utilisé principalement pour aller au travail contre 79 % pour les balades le weekend et en vacances. Le sport représente 57 % de l’usage principal. 39 % du panel s’est mis au vélo durant la crise sanitaire et 54 % déclarent avoir connaissance des différentes aides financières. 69 % apprécient l’idée de bénéficier d’un vélo de fonction avec une forte appétence (65 %) pour un modèle à assistance électrique.

A lire aussi :   Renault Mobilize : une solution pour conquérir le marché de la mobilité

Le principal frein qui empêche pour l’heure les personnes interrogées à utiliser le vélo pour leur trajet vélotaf est l’inadaptation des infrastructures (59 %) suivi de la trop grande distance (48 %) et du vol (39 %).

Poster un commentaire