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    Accueil » Essai » Essai voiture hybride » Essai Renault Espace VI : trop, ou trop peu.

    Essai Renault Espace VI : trop, ou trop peu.

    By Alexandre Lenoir24 juin 2023
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    Essai Renault Espace VI

    Débattre de la justesse de nommer cet Austral rallongé Espace plutôt que Grand Austral, nous le réserverons à d’autres. Le fait est que Renault entend, lui, vendre cet Espace de sixième génération comme étant la synthèse des cinq précédentes. Abus de marketing ? Oui, clairement. L’Espace VI n’a ni la modularité de l’Espace original, ni l’architecture d’un monospace, d’ailleurs. L’Espace VI est un SUV de 4,72 m, soit 21 de plus que le Renault Austral qui lui sert de base, dont 7 cm gagné sur l’empattement. Pour le reste, que vaut-il ? Nous en avons pris le volant.

    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI
    Essai Renault Espace VI

    De bonnes bases

    C’est dans la région du Douro, au Portugal, que nous avons conduit ce Renault Espace VI. Une région où la majesté de la vallée dans laquelle s’écoule le fleuve sur les flancs duquel s’étale une partie du vignoble local n’a d’égal que le calme qu’elle inspire.

    Question design, l’Espace VI regroupe évidemment l’Austral pour ce qui est de l’extérieur, et une bonne base de Mégane E-Tech pour la partie intérieure. Le premier accueil à bord fait clairement partie des bonnes surprises : le niveau de finition de bonne facture profite d’un mobilier bien agencé et d’une présentation avenante. Côté ergonomie, tout n’est pas parfait (pas moins de 3 commodos à droite du volant, sérieusement ?!), mais on trouve de bonnes choses, comme le repose poignet qui permet de manipuler facilement le grand écran et les commandes situées en dessous. Le volant à double méplat, lui, semble provenir de celui d’un Peugeot 5008 qui aurait été passé à l’échelle 1,5. La luminosité procurée par le grand toit vitré est réelle, et son opacité variable en fonction des rayons du soleil est bien trouvée, même si on aimerait parfois pouvoir l’occulter totalement, ce qui est impossible en l’absence de velum.

    Essai Renault Espace VI

    Espace, vraiment ?

    Si nous avons affirmé que l’Espace VI n’a pas la modularité d’un Espace I, c’est avant tout parce que les sièges, ni ne pivotent, ni ne se retirent facilement. En revanche, la banquette du second rang (la version 7 places est proposée au même tarif que la 5 places) peut coulisser sur plus de 20 centimètres, ce qui permet réellement de prendre ses aises à l’arrière lorsqu’on a peu de bagages et, surtout, personne assis derrière soi non plus. En troisième rang, les places sont en revanches réservées aux plus petits gabarits, c’est-à-dire aux personnes de moins de 1,70 m. Ces deux sièges supplémentaires, lorsqu’ils sont rangés, préemptent tout de même 100 litres de coffre, lequel affiche alors un volume utile de 677 litres au lieu de 777 en configuration 5 places et banquette avancée au maximum.

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    3 trop petits cylindres

    Côté motorisation, Renault ne s’est pas embarrassé de multiples configurations. Pour tout le monde, ce sera un trois cylindres essence de 1,2 litre développant 130 chevaux, accouplé à deux moteurs électriques pour l’hybridation. Le tout totalise 200 chevaux au meilleur de sa forme, l’un des deux moteurs servant avant tout de démarreur et à lisser les variations du couple lors des changements de rapport.

    Essai Renault Espace VI

    Sur la route, il ne faut pas longtemps pour comprendre le paradoxe de cet Espace VI. Ou plutôt les paradoxes. Pour commencer, l’hybridation qui permet à l’Espace d’évoluer en mode électrique dans le trafic urbain s’efface rapidement sur la route. Résultat, nous voici en présence d’une auto familiale, conçue pour les longs trajets, qui surconsomme sur la route et se montre très économe en ville, là où elle n’est pas vraiment à son aise, même si les quatre roues directrices lui facilitent les manœuvres. Nous avons relevé 7,2 litres à l’ordinateur de bord, là où Renault annonce 4,2 litres de consommation homologuée. Le gap est tout de même sérieux.

    Ces quatre roues directrices, baptisées 4-Control chez Renault, apportent également du dynamisme sur route, facilitant les passages en courbe. Mais là encore, la fête est un peu gâchée par la très mauvaise visibilité trois-quarts avant, occultée par les énormes piliers A et des rétroviseurs très proéminents. Cela tranche franchement avec cette impression de visibilité totale que l’on éprouvait au volant d’un Espace I, même s’il est hasardeux de comparer des autos avec 40 ans d’écart. Enfin, après 200 kilomètres à enchaîner les courbes sur les petites routes portugaises, nous sommes catégoriques : préférez l’autoroute. Oui, l’Espace VI affiche un dynamisme réel (encore une fois, le châssis 4-Control joue bien son rôle), mais le centre de gravité assez haut et les suspensions somme toute assez souples ont vite fait d’imposer une cadence réduite et des fenêtres ouvertes à tout l’équipage. De toute façon, le petit 1,2 litre n’est clairement pas fait pour endurer une conduite dynamique prolongée. Renault aurait été mieux inspiré de lui trouver un cylindre de plus dans son catalogue de moteurs. En revanche, une fois « les belles routes » – comme on dit parfois – retrouvée et à allure stabilisée, on est plutôt bien à bord de l’Espace, où l’on profite du confort des sièges et du bon niveau d’insonorisation.

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    Bilan

    Au bilan, ce Renault Espace VI est un véhicule accueillant, confortable et relativement logeable dans sa version 5 places. Proposer la version 7 places au même tarif est une démarche intéressante, bien malin qui saura dire quel sera le choix privilégié par la clientèle. Économe en ville, agréable sur autoroute, il se conduit de préférence sans brutalité pour éviter de surconsommer. Enfin, à partir de 44 700 euros (49 500 dans la version Iconic de notre essai), il montre qu’il est encore pertinent de préférer une bonne motorisation hybride à une mauvaise électrique ou PHEV, plus chère et moins polyvalente.

    Photos : © Renault

    On aime

    • La présentation intérieure
    • La qualité de finition
    • L’hybridation efficace en ville

    On aime moins

    • Mauvaise visibilité ¾ avant
    • Moteur trop juste hors des villes
    • Quelques défauts d’ergonomie

    Caractéristiques techniques

    • Dimensions (Lxlxh) : 472x208x165 cm
    • Masse : 1698 kg (Iconic)
    • Moteur : 3 cylindres essence, 1199 cm3
    • Hybridation : Moteur électrique + alternodémarreur, batterie Li-ion 2 kWh
    • Puissance totale maxi : 200 ch
    • Couple maxi : 255 Nm
    • 0 à 100 km/h : 8,8 sec.
    • V. max : 175 km/h

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