Essai voiture électrique

Voici la nouvelle offensive de Lotus sur le segment du haut de gamme et sportif 100% électrique. Et tout comme le SUV Eletre dont elle dérive, la berline Emeya est une éclatante démonstration de savoir-faire. Reste à séduire une clientèle qui n’aime pourtant pas chambouler les codes.

Après le carton de la deuxième génération, Peugeot aurait pu jouer, à l’instar de nombre de ses concurrents, la carte de l’évolution douce au moment de concevoir le 3008 n°3. Mais le Lion a décidé d’être audacieux et de repartir d’une feuille blanche sur le plan visuel, mais également sur le plan technique. Ainsi, dans un premier temps, c’est une version 100 % électrique qui investit les halls de vente.

Toujours aussi bien présenté, et efficace dans cette version SQ8 e-tron Sportback, le SUV allemand revoit ses entrailles en profondeur : une nouvelle batterie et des moteurs remaniés pour une plus grande polyvalence. Il revient dans la course.

Smart double la mise avec une #3 nettement plus homogène que la #1 dont elle dérive. Une meilleure habitabilité et une bien meilleure mise au point qui permettent de profiter pleinement du caractère survolté de cette version Brabus.

Les amateurs de sportives en étaient inconsolables : l’obligation de passer, au plus tard en 2035, au tout électrique allait sonner le glas des automobiles caractérielles et bruyantes. Mais, chez Hyundai, il n’était pas question de se résoudre à ce que zéro émission rime forcément avec zéro sensation.