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    Essai BYD Seal 6 DM-i : une berline et un break PHEV qui visent l’Europe

    By Alexandre Lenoir5 septembre 2025
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    BYD Seal 6 DM-i2025
    BYD Seal 6 DM-i2025
    BYD Seal 6 DM-i2025
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    BYD Seal 6 DM-i2025
    BYD Seal 6 DM-i2025
    BYD Seal 6 DM-i2025

    Déjà numéro un mondial des véhicules électrifiés devant Tesla, le constructeur chinois BYD (Build Your Dreams) intensifie son offensive européenne. Après le lancement remarqué du SUV Seal U DM-i, c’est au tour de la Seal 6 DM-i – disponible en berline et en break Touring – de débarquer sur le Vieux Continent. Avec une autonomie électrique annoncée de plus de 100 kilomètres et une totale dépassant les 1 500 kilomètres, ce modèle incarne la volonté de la marque d’offrir un compromis entre performances, polyvalence et tarifs maîtrisés.

    BYD Seal 6 DM-i2025
    Jeune en Europe, mais pas novice

    Si BYD n’est encore qu’un « nouvel entrant » sur le marché européen, comme le souligne Emmanuel Bret, Directeur général de la filiale française, le groupe Chinois n’en est pas à ses débuts. Fondée en 1995, l’entreprise a rapidement bâti une expertise dans les batteries et l’électrification avant de s’imposer dans l’automobile. En 2024, elle a franchi le cap des 4 millions de véhicules électrifiés vendus, s’octroyant près de 20 % du marché mondial.

    Ce succès repose sur une stratégie particulière : BYD fabrique elle-même 95 % des composants de ses véhicules, y compris la fameuse Blade Battery, réputée pour sa sécurité et sa durabilité. Une intégration verticale qui permet à la marque de contrôler sa qualité tout en proposant des prix compétitifs, sans chercher à être l’acteur le moins cher mais plutôt celui du meilleur rapport qualité-prix.

    Une motorisation « Super Hybride »

    La Seal 6 DM-i ne veut pas être cataloguée comme une simple hybride rechargeable. BYD insiste sur sa technologie maison baptisée « Super Hybride DM-i » (DM pour Dual Mode). Concrètement, le véhicule peut rouler en 100 % électrique sur environ 105 km, ou passer en mode hybride HEV où le moteur thermique vient soutenir et recharger le moteur électrique par l’intermédiaire d’un onduleur. Sur le principe, on trouve quand même que ça ressemble pas mal à ce que font Honda et Mitsubishi, par exemple.

    L’objectif est clair : faire fonctionner la voiture comme une électrique la majeure partie du temps, en optimisant la récupération d’énergie lors des phases de décélération et de freinage. Résultat : une consommation moyenne contenue entre de 4,5 l et 5,0l/100 km lors des essais des deux silhouettes. Selon le constructeur, avec le plein d’essence et la batterie rechargée, l’autonomie totale atteint jusqu’à 1 505 km.

    En fonction du niveau de finition deux capacités de batteries sont proposées, 10 et 19 kWh. La puissance cumulée des moteurs électrique et thermique se monte à 156 kW,soit 212 chevaux. Quant à la recharge, elle peut grimper jusqu’à 26 kW sur les chargeurs rapides. Ce n’est pas le mieux disant, mais les utilisateurs de PHEV chargent de toute façon rarement sur ce type de borne, sinon à la faveur d’un arrêt déjeuner.

    Pour BYD, la Seal 6 DM-i se présente comme une alternative crédible aux modèles thermiques classiques et aux hybrides dits « légers », tout en se démarquant d’une catégorie PHEV de plus en plus fragilisée par la fiscalité.

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    Un style conservateur et une habitabilité généreuse

    Côté style, la Seal 6 s’inscrit dans la lignée esthétique des modèles Seal de BYD, inspirés par l’univers aquatique. Les lignes fluides, les optiques en forme de gouttes d’eau et la calandre traduisent cette référence maritime. Jantes alliage de 18 pouces et signature lumineuse dynamique renforcent une allure contemporaine, que ce soit en berline ou en version break Touring.

    La variante Touring, destinée à représenter la majorité des ventes selon la marque (les breaks sont absents du marché chinois, ce qui montre aussi les ambitions de BYD en Europe), se distingue par un profil plus haut de 1 centimètre et un hayon plus vertical, offrant un coffre allant jusqu’à 1 535 litres banquette rabattue. L’espace arrière se révèle confortable, même si l’on ne peut pas glisser les pieds sous les sièges avant. Un défaut que l’on retrouve malheureusement de plus en plus dans les voitures équipées de batteries, qui tentent de ne pas trop surélever la carrosserie en trouvant la place où elle se trouve… L’impression générale de qualité n’a pas grand chose à envier aux références européennes du segment C. Cela étant, le nuancier proposé par BYD est quand même un peu triste. Le choix est limité à quatre teintes absolument pas lumineuses.

    Technologique et bien équipée

    À l’intérieur, la dotation se veut généreuse dès la version d’entrée de gamme, baptisée Boost : écran central tactile de 12,8 pouces, compatibilité Apple CarPlay et Android Auto sans fil, chargeur à induction, sièges électriques, caméra de recul et capteurs de stationnement arrière. Le système d’infodivertissement, en revanche, ne bénéficie pas de l’écran orientable disponible sur d’autres modèles BYD. Ce n’est pas un reproche : ce genre de gadget n’a quand même qu’une utilité plus que limitée.

    Les finitions supérieures ajoutent un écran de 15,6 pouces, des sièges chauffants avec mémorisation, un toit ouvrant panoramique et une caméra de recul en haute définition. Toutes les versions proposent la fonction V2L (vehicle to load), qui permet d’alimenter des appareils électriques externes en utilisant l’énergie de la batterie.

    En matière de sécurité, BYD mise sur la rigueur : radars avant et arrière, régulateur de vitesse adaptatif, surveillance des angles morts, détection de fatigue et avertisseur d’ouverture de porte figurent dans l’équipement standard. Et comme c’est malheureusement trop souvent le cas avec les véhicules asiatiques, certaines alarmes tendent à se déclencher pour rien. Par exemple, ayez l’audace de poser la main sur le haut de la jante du volant et vous serez rappeler à l’ordre pour votre manque de vigilance. Eh oui, en faisant ainsi, votre avant bras se trouve alors entre vos yeux et la caméra qui surveille si vous n’êtes pas en train de vous endormir. Agaçant.

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    Une mise au point qui va dans le bon sens

    Soyons clairs : la Seal 6 n’est pas une voiture de sport, même si elle dispose d’un mode de conduite ainsi nommé. Cela étant, son comportement routier permet de juger des progrès de mise au point qu’effectue la marque, non pas d’année en année, mais de mois en mois. Certes, la version Touring a du mal à faire oublier son sac à dos et a des suspensions arrières qui claquent un peu fort, notamment sur les dos d’âne, mais la berline est déjà autrement plus dynamique. Il y  a quelques années, on aurait sans doute qualifié son confort de « à l’allemande ». La direction est elle même aussi un peu lourde, mais pas imprécise. Le freinage manque un peu de mordant à l’attaque et présente une légère inconstance que l’on retrouve dans de nombreux véhicules électriques ou électrifiés lorsque l’on passe du frein régénératif au frein mécanique. Et puisque l’on parle de freinage, on aurait aimé trouver des palettes pour choisir à la volée un niveau de régénération, mais le réglage par défaut a le mérite de n’être ni trop violent, ni trop léger. On s’y adapte très naturellement.
    Reste qu’une fois au volant, l’ergonomie des commandes — quasiment en tout tactile — n’est pas complètement intuitive, ce qui oblige toujours à quitter trop longtemps la route des yeux pour parvenir à ses fins.

    Une tarification offensive

    La Seal 6 DM-i arrive avec des prix étudiés pour séduire. En France, la berline débute à 38 490 euros et le break Touring à 39 990 euros. Les versions supérieures Comfort Lite et Comfort franchissent la barre des 42 000 euros, tout en restant en deçà des rivales européennes équivalentes.  Si vous préférez le leasing, vous trouverez des propositions à partir de 349 euros par mois, pour 48 mois.

    Bilan : le pari de la polyvalence

    La Seal 6 DM-i illustre la stratégie de BYD en Europe : proposer des véhicules hybrides et électriques techniquement avancés, compétitifs et accessibles, dans un contexte réglementaire et fiscal incertain. Avec ses 1 500 km d’autonomie cumulée, sa consommation maîtrisée et son équipement complet, elle entend séduire autant les conducteurs urbains que les grands rouleurs.

    Face à une concurrence bien établie – Toyota Corolla, Peugeot 308 SW, Skoda Octavia Combi ou Citroën C4X – la Seal 6 DM-i avance l’argument d’un rapport prix/prestations — très —difficile à ignorer. BYD espère ainsi s’ancrer durablement sur un marché européen encore méfiant mais de plus en plus réceptif aux alternatives venues d’Asie.

    Photos : The Good Click et Alexandre Lenoir

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