Essai voiture électrique

Afin de compléter sa gamme de modèles électriques à bon compte, Mercedes a décidé d’électrifier certains de ses modèles compacts. Cette démarche, débutée avec l’EQA, se poursuit aujourd’hui avec l’EQB, premier véhicule 7 places de sa catégorie.

Avec son look rétro-futuriste, la première Hyundai spécifiquement électrique fait tourner les têtes. Et son dessin n’est pas le seul, loin s’en faut, de ses atouts. Mais à trop vouloir en faire, sa version haut de gamme perd de son intérêt.

La déferlante Tesla n’est pas près de s’arrêter. Après l’immense succès rencontré par la berline Model 3 – véhicule électrique le plus vendu en Europe et dans le monde – l’américain lance une deuxième vague avec le Model Y. Une proposition encore plus complète.

Il y a 4 ans, le petit SUV de Hyundai complétait sa gamme d’une variante 100 % électrique. 4 ans… une éternité dans le monde de la voiture « zéro émission ». Et pourtant, ce coréen tient encore la dragée haute à des rivaux beaucoup plus récents.

Initialement prévue pour être commercialisée sous la marque Seat, la Born nous arrive finalement flanquée du logo Cupra. Certes, sportivité et électricité ne sont plus incompatibles, mais ce dérivé de la Volkswagen ID.3 peut-il réellement se prévaloir du premier qualificatif ?

Un énorme SUV à l’allure qui pose question, des technologies embarquées promises avant-gardistes, un intérieur original mais bien pensé et un certain dynamisme. Voilà l’étrange mélange proposé par le BMW iX. Le futur est-il déjà parmi nous ?

En marche vers l’électrification complète de sa gamme, Volvo ajoute une pierre à son édifice avec ce nouveau C40. S’il reprend les attributs techniques du XC40, il s’agit en revanche du tout premier SUV coupé de la marque suédoise. Des lignes dynamiques à la mesure des performances de cette version Twin de 408 ch.

Cette i4 M50 est une redoutable sprinteuse. C’est aussi et surtout le premier modèle 100% électrique badgé Motorsport, BMW nous donnant ici un aperçu d’un futur électrifié. Reste que cette sportivité 2.0 a un coût, et surtout un poids.